Alies e vez soñjet eo "n'onn ket" ar memes tra ha "n'ouzon ket". Lennet 'ma n'eo ket gwir se, adkavet 'meus pelec'h :
Sell aze ar pezh a lavar Steve Hewitt war ar forum Academia Celtica :
http://academia-celtica.niceboard.com/t ... ppelles-tuTrès brièvement, (n')onn n'est nullement une "contraction" de (n')ouzon, comme beaucoup semblent le croire. Au contraire, ouzon est une forme créée par analogie avec ouzout, ouzomp, ouzoc'h, ouzont. (G-)onn est une forme très ancienne, correspondant au gallois (g)wn "je sais". Dans le Trégor, ouzon se prononce /u:zõ/, avec un /õ/ nasal, mais sans consonne /n/ à la fin, alors que onn se prononce /õn:/ avec un /n:/ bien fort.
Roparz Hemon a ro un nebeut skouerioù kozh (Yezhadur istorel ar brezhoneg) : gonn, gounn, gon, goun.
Dre na gounn ma seruig, ac eff lig a plige, Parce que je ne sais si mon service dévoué plaisait. (Le Mirouer de la mort, 1519)
Em calon don ez estonaff / Ne gonn en noar pez a graff, Je suis troublé au fond du coeur / Et ne sais du tout que faire. (Buhez santez Nonn, XVIvet kantved)