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jibilou

Stummioù : jibilou ;

fantasque

Met heu, ne oant ket memes genre, heu, reoù Claire a oa un tamm mat, heu ma kerez, muioc'h dister, e-kichen reoù o mamm a oa, ma kerez, heu, muioc'h frou-frou, amoureux quoi, muioc'h ya. Ya. Ya. Ar reoù skrivet gant Max du Veuzit eo an hini a oa bravoc'h da lenn evit reoù Claire. Reoù Claire a oa naturel, e-kichen reoù eben a oa muioc'h jibilou ma kerez, pe, pe me a oar... Muioc'h amoureux quoi e oa reoù Max evit reoù Claire.

[mɛd ø – wãŋ kət ’mõməz ’ʒãːʁ – ø ʁew ’klɛːʁ wa tãm ’mat ø ma ’kees myɔχ ’distəʁ – ’kiʃən ʁew o ’mãm wa ma ’keez ø myɔχ fʁufʁu – amuʁø kwa myɔχ ja – ja ja – ʁew ’skwiːvə gãn ’maks ty ’vøzit he̞ n ni wa ’bʁa(w)ɔχ tə ’lɛn wi ʁew ’klɛːʁ – ʁew ’klɛːʁ wa natyʁɛl – ’kiʃən ʁew i’beːn wa myɔχ jibi’lu ma ’kees – pe pe me waʁ – myɔχ amuʁø kwa wa ʁəw ’maks wi ʁew ’klɛːʁ]

Mais ce n'était pas le même genre [de romans]. Ceux de Claire était un peu plus insignifiant, si tu veux, tandis que ceux de sa mère était plus frou-frou, plus amoureux. Oui. Ceux écrits par Max du Veuzit était plus intéressants à lire que ceux de Claire. Ceux de Claire étaient naturels, tandis que ceux de l'autre étaient plus volage/fantasque, si tu veux, ou que sais-je... Ceux de Max étaient plus amoureux que ceux de Claire.

À propos de Max du Veuzit, auteure à succès de romans à l’eau de rose dans les années 30, et de sa fille Claire du Veuzit, auteure également. Max du Veuzit avait choisi son nom de plume en référence au Veuzit de Trézélan.

Plac'h, 1925, Trezelan (Bear) (dastumet gant Riwal)